Le rituel classique du brunch :
Le brunch est devenu un incontournable de nos dimanches depuis des années. Ce moment suspendu entre le petit-déjeuner et le déjeuner s’articule généralement selon un ordre bien établi : on commence par le sucré – jus, café, viennoiseries, pancakes – avant de passer au salé – œufs brouillés, avocado toasts, bagels… Comme une sorte de prolongement du petit-déjeuner avant d’attaquer “le sérieux” de l’assiette.
Mais pourquoi devrait-on toujours suivre ce scénario ? Et si l’on inversait les codes ? Et si le sucré devenait le point d’orgue, et non plus seulement l’entrée en matière ?


Brunch : une expérience libre par essence :
Ce qui rend le brunch si unique, c’est sa liberté. Contrairement au petit-déjeuner, au déjeuner ou au dîner, il n’a pas de règles fixes. Il emprunte au petit-déj ses douceurs, au déjeuner ses plats plus consistants, et se permet même quelques détours gourmands venus d’ailleurs.
Dans ce contexte, pourquoi ne pas repenser son déroulé ? Le brunch est un terrain de jeu culinaire, une expérience sociale, une excuse pour se retrouver… alors autant bousculer l’ordre établi.
Le salé d’abord : réveiller les papilles autrement :
Commencer son brunch par un plat salé a quelque chose de surprenant… mais aussi de logique. Après tout, dans de nombreuses cultures, le petit-déjeuner est salé (œufs, légumes, viandes, fromages).
- Chez Santa Lyna Paris 3, par exemple, difficile de résister à leurs assiettes généreuses de poulet sur gaufre ou leurs toasts colorés. Commencer par là, c’est s’offrir un boost d’énergie immédiat.
- Du côté de Kafkaf Paris 11, les œufs bénédicte ou les plats aux influences méditerranéennes apportent une profondeur et une chaleur qui mettent tout de suite dans l’ambiance.
En démarrant par le salé, on stimule nos papilles avec du caractère, on sort de l’attendu et on crée une dynamique de repas plus surprenante.
Garder le sucré pour la fin : la touche “dessert” du brunch :
Réserver le sucré pour la deuxième partie du brunch permet de lui donner une dimension différente. Plutôt qu’une simple mise en bouche, il devient le clou du spectacle, une conclusion douce et festive.
- Chez Bon Bouquet Café Paris 9, c’est presque une évidence. Leurs pancakes fluffy, leurs pains perdus ultra gourmands et leurs assiettes sucrées sont si généreux qu’on les savoure comme de vrais desserts. Commencer par le salé, puis terminer avec leur pain Coco Mango ou leurs pancakes signature, c’est comme transformer le brunch en menu gastronomique.
- À Stella Mia Brunch Paris 3, les créations sucrées comme les GIANDUJA BANANA pancakes ou les assiettes travaillées autour du chocolat deviennent de véritables moments de dégustation. Finir sur ces notes sucrées et un café de spécialité de chez Coutume ou un bon Matcha de chez Anatae, c’est donner au brunch une conclusion digne d’un repas complet.


Un brunch repensé comme un menu en 3 temps :
En inversant l’ordre, on pourrait presque réinventer le brunch comme un menu en trois actes :
- Entrée salée → un avocado toast, des œufs benedict, des grilled cheese, …
- Final sucré → des fluffy pancakes, des french toasts, un cookie croquant à l’extérieur et fondant à l’intérieur
Cette structure donne plus de place au sucré, qui devient non pas un préambule mais une finalité. Et surtout, elle permet de savourer chaque étape avec plus d’attention, sans saturation trop rapide.
Les avantages de ce nouvel ordre :
- Surprise & originalité : casser la routine rend le brunch plus mémorable.
- Équilibre des saveurs : commencer par du salé ouvre l’appétit, terminer par du sucré clôture sur une note douce.
- Une nouvelle expérience client : au lieu de suivre une habitude, le client vit un petit voyage culinaire.
Bon Bouquet, Kafkaf, Santa Lyna, Stella Mia : quatre visions du brunch :
Bon Bouquet Café Paris 9 : le temple des pancakes et des assiettes sucrées qui méritent de devenir les stars de fin de repas.
Kafkaf Paris 11 : des plats salés gourmands et généreux, parfaits pour ouvrir le bal du brunch.
Santa Lyna : une identité californienne et chaleureuse qui réinvente les classiques salés du brunch.
Stella Mia Paris 3 : l’alliance d’un brunch raffiné et de desserts travaillés, qui trouvent toute leur place en “final”.
Et si on essayait dimanche ?
La beauté du brunch, c’est qu’il appartient à ceux qui le dégustent. Rien n’empêche de suivre l’ordre classique, mais pourquoi ne pas tenter une fois l’inversion ? Commencer par les saveurs salées de Kafkaf ou Santa Lyna, puis finir en apothéose avec les douceurs de Bon Bouquet ou Stella Mia.
Après tout, le brunch est un moment de plaisir… et le plaisir n’a pas de règles.